30, avenue Montaigne
Entrez au cœur du 30, avenue Montaigne, cette « petite ruche pleine à craquer », où est né le mythe Dior il y a soixante-quinze ans !
Madame Marguerite, directrice technique des ateliers, que Christian Dior aimait surnommer « Dame Couture » avait un petit salon d'essayage à côté du grand studio.
Marguerite Carré, la directrice technique de Christian Dior, fait des essayages sur la mannequin Sylvie dans le petit salon d'essayage, circa 1948.
Par l’intermédiaire de son ami le décorateur Georges Geoffroy, Christian Dior rencontre Marguerite Carré, alors modéliste chez Patou depuis dix-huit ans. « Dame Couture », « dont la passion pour les robes pouvait égaler la mienne », note le couturier, rejoint la Maison dès sa création en tant que directrice technique. Elle est le lien indispensable entre le studio et les ateliers de création, à qui elle donne des directives. Dans les deux salons d’essayage qui jouxtent le studio, Madame Marguerite voit tous les modèles avant qu’ils ne soient présentés à Christian Dior.
Marguerite Carré supervise chaque étape de la création d'un modèle, on la voit ici corriger un drapé sur une robe de la future collection automne-hiver 1957 sous l'œil attentif de Christian Dior.
Entrez au cœur du 30, avenue Montaigne, cette « petite ruche pleine à craquer », où est né le mythe Dior il y a soixante-quinze ans !