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Au gré d’un récit scénographique unique, La Galerie Dior symbolise à elle seule l’esprit de la haute couture parisienne autant qu’elle perpétue la mémoire de cette adresse historique.

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La Galerie Dior

Jusqu’au 04 mai 2025, un nouveau récit scénographique met en lumière les liens étroits qui unissent Dior et le photographe Peter Lindbergh.

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DIOR / LINDBERGH

Le porte-bonheur de Christian Dior

Le 18 avril 1946, Christian Dior trébuche dans la rue sur une étoile en métal. Cet événement va changer sa vie.

VIGNETTE ETOILE

L'étoile

Sur le chemin d’un rendez-vous avec Marcel Boussac, qui avait accepté de financer une maison de couture à son nom, le couturier trébuche sur une étoile rue du Faubourg-Saint-Honoré, à Paris. Il y voit un signe du destin !

© Association Willy Maywald/ADAGP, Paris, 2022 ; © Laziz Hamani ; © Gérard Uféras ; © Guy Marineau ; © Sophie Carre

L’étoile

Découvrez la richesse de l’histoire de la Maison à travers l’œuvre de Christian Dior et de ses successeurs.

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La maison Christian Dior

12 février 1947, le New Look

La mannequin Tania présentant le tailleur Bar lors du défilé de la première collection, 1947.

Présentation de la robe Jungle lors du défilé de la première collection, 1947.

Invités assistant au défilé de la première collection, 1947.

Les invités se serrent dans l'escalier de la maison Dior pour voir le défilé de la première collection, 1947.

Le New Look

L'histoire du tailleur Bar

12 février 1947. Premier défilé de Christian Dior au 30, avenue Montaigne. Le tailleur Bar révolutionne la mode.

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Haute couture printemps-été 1947, ligne Corolle

© Laziz Hamani ; © Association Willy Maywald/ADAGP, Paris, 2022 ; © Guy Marineau

Bar, haute couture printemps-été 1947, ligne Corolle

Entrez au cœur du 30, avenue Montaigne, cette « petite ruche pleine à craquer », où est né le mythe Dior il y a soixante-quinze ans !

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30, avenue Montaigne

Les débuts du 30, avenue Montaigne

Victor Grandpierre et Christian Dior pendant les travaux de l'hôtel particulier du 30, Avenue Montaigne.

« J’obtins le salon Helleu que je voulais, confie Christian Dior, blanc et gris perle, très “Paris”, avec les appliques à petits abat-jour, le lustre à cristaux et l’effusion de palmier-quintias. » confie Christian Dior en 1956.

Emile, le portier de la maison Dior regarde les ouvriers travailler, 1946.

Une ouvrière coud la moquette pour les grands salons, 1946.

Les ouvriers préparent l'echaffaudage pour les travaux du grand escalier.

Les ouvriers rénovent l'entrée et installent les comptoirs.

Les travaux du 30, avenue Montaigne

Les modèles haute couture sont réalisés sur mesure pour chaque cliente qui les commande.

La jupe est constituée de panneaux de tissus taillés à partir d'un patron sur mesure ajusté sur la cliente qui a commandé le modèle.

Chaque détail doit être parfait, dans la haute couture, la majeure partie du travail de couture se fait à la main.

Deux ouvrières qualifiées travaillent ensemble sur une même robe pour une cliente, une petite partie du travail peut-être réalisé à la machine à coudre.

Plusieurs essayages doivent être faits sur le buste adapté aux mensurations de la cliente afin de régler au mieux les proportions du modèle commandé.

Christian Bérard, Hommage à Christian Dior, 1947

30, avenue Montaigne